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Informations
Code Département
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Canton
Commune
Nom du Château
Type Edifice
Période origine
Histoire
Saint-Etienne de Montluc, le manoir du XVe siècle (vers 1470) La Peltancherie du XIXe siècle, de la Biliais du XVIIIe siècle, de la Juliennais, de Haie-Mahéas, de Saint-Thomas, de la Vallais, du Perrorteau et de Rouillonnais. La BILLIAIS, un certain BILLY aurait donné son nom à ce grand domaine situé au nord, dont on sait que le premier propriétaire connu, Pierre de Saffré, le vendit au début du XVe siècle. Lui succéderont les de Langle en 1510, puis Charles de La Bourdonnaye en 1691, enfin les Le Lou de la Billiais en 1708, qui conserveront le domaine durant deux siècle et demi. De nouveaux bâtiments sont construits en 1764 et 1770, le parc redessiné, avant qu’une partie de la famille ne soit guillotinée sous la Terreur, en 1793, pour avoir hébergé un prêtre réfractaire. Depuis 1946, la Biliais est la propriété de la famille Le Gouais PERRORTEAU du 1770, édifié par François Morin de La Masse ; procureur fiscal, avocat et notaire, fut bâti vers 1770, à la façon des folies nantaises de l’époque, le manoir du XVe siècle, situé place de la Mairie. Cet édifice abrite jusqu'en 1791 le presbytère. En 1820, le domaine de La Peltancherie appartenant à Madame Fromont sert de cure jusqu'en 1866 ; procureur fiscal, avocat et notaire, fut bâti vers 1770, à la façon des folies nantaises de l’époque, sur les plans de l’architecte Jean-Baptiste Ceineray, célèbre architecte à qui l’on doit entre autres la préfecture de Nantes. Sa descendance le conserva un siècle avant que le domaine ne passe par alliance à Henri Dubois de la Patellière, qui fut maire de la commune durant 45 ans. Ses descendants y demeurent toujours.
Architecture
St-THOMAS, situé en bordure des marais, le château de Saint-Thomas est cité en 1231 comme appartenant à Guiton de Saint Thomas. Il devint ensuite la propriété des Lespervier, jusqu’en 1578, des Le Houx puis des de Chevigné, de 1721 à 1897, dont un des descendants, le comte Louis-Marie de Chevigné, fut maire de la commune au début du XIXe siècle. Le château fut rebâti en 1840, puis la propriété cédée en 1898 à Numa Croux qui y installa la laiterie de Saint-Thomas dont la renommée s'étendait jusqu'à la cour de Nicolas II en Russie. Une chapelle existait avant l’actuelle, et servit même d’église aux habitants du bourg durant l’épidémie de peste en 1627. Depuis 50 ans, ses deux derniers propriétaires ont restauré l'intérieur du château. HAIE-MAHEAS château du 1650-1700 , situé à La Haie-Mahéas et réédifié par Michel Le Lou. La seigneurie est attestée dès 1610. Ce château possédait déjà une chapelle privée au temps des d'Acigné, des Cochon de Maurepas et de Coutances. Le domaine de Haie-Mahéas est vendu par la famille Le Lou aux Dodun, puis aux Cochon de Maurepas. Durant tout le XVIIIe siècle, ce sont les Maurepas et leurs descendants, les de Coutances et de Bourmont à la Révolution qui vont occuper le domaine. Les de Bourmont vendent ensuite le domaine et leurs successeurs vont être les Bascher, de La Rochette et enfin Marie Veillet, fille d'un percepteur de Châteaubriant et future soeur Marie de l'Immaculée Conception, décédée en 1890, bienfaitrice des orphelins et des abandonnés. Le château est modifié au XIXe siècle.
Les habitants
Biliais, Pierre de Saffré, Perrorteau; Madame Fromont ST-Thomas, comte Louis-Marie de Chevigné Haie-Mahéas; famille Le Lou "
Divers
Saint-Etienne de Montluc, le manoirGrav-1; La Peltancherie, de la Biliais , de la Juliennais grav 3, de Haie-Mahéas, de Saint-Thomas grav-4-5-6-7-8, de la Vallais, du Perrorteau grav-2 et de Rouillonnais.
Liens